Orane de Lavallière, quintessence de la haute-bourgeoisie versaillaise, subit l'affront d'être quittée par son mari, Xavier, le lendemain du mariage de leur dernière fille. Une lettre humiliante pour toute excuse, et les remerciements sincères d'un Don Juan pour les "bons et loyaux services assurés par la mère de ses enfants". Et le petit monde policé… Lire la suite « Prenez-moi pour une conne », Guillaume Clicquot : tel est pris…
