A croquer

« Le diplôme », Amaury Barthet : laissez-passer de papier

Le diplôme fait-il la personne ? Peut-on se définir principalement à travers une feuille cartonnée format A4 estampillé du sceau d'une prestigieuse école ou d'une honorable université, que l'on accrochera fièrement dans un bureau ou, au pire, que l'on rangera soigneusement dans une chemise vouée à prendre la poussière ? Qui se gargarise à quarante… Lire la suite « Le diplôme », Amaury Barthet : laissez-passer de papier

A dévorer !

« L’âge d’or », Renée Rosen : splendeur et décadence

En 1876 à New York, le beau monde est régenté, dans ses us et coutumes du paraître et du bon goût, par Caroline Astor, la reine proclamée devant laquelle tous s'inclinent, que ce soit lors des opulents dîners ou des fastueux bals qu'elle organise, que ce soit dans son hôtel particulier à New-York ou à… Lire la suite « L’âge d’or », Renée Rosen : splendeur et décadence

A dévorer !

« Une fenêtre sur Tribeca », Kyle Lucia Wu : envol bridé

Willa a achevé ses études de psychologie et se questionne encore quant à la direction à suivre pour son avenir. Dans l'immédiat, elle peut repousser ses doutes et ses interrogations à plus tard car on lui offre l'opportunité de devenir baby-sitter dans une très riche famille new-yorkaise sise dans le quartier huppé de Tribeca. Lors… Lire la suite « Une fenêtre sur Tribeca », Kyle Lucia Wu : envol bridé

A dévorer !

« Un long, si long après-midi », Inga Vesper : la couleur du soupçon

Ruby Wright est une afro-américaine de vingt-deux ans employée à faire le ménage dans les riches familles de Sunnylakes. En cette année 1959, la ségrégation raciale survit toujours avec autant de violence, et Ruby est habituée au mépris quotidien de ses clients. "Maintenant, c'est la fin de la ségrégation et ça n'est pas mieux. Les… Lire la suite « Un long, si long après-midi », Inga Vesper : la couleur du soupçon

A dévorer !

« Les affinités sélectives », J. Courtney Sullivan : la vie, ses choix, ses émois

Elisabeth, écrivaine de renom tout juste maman d'un petit Gil, a quitté New-York pour suivre Andrew, son mari, afin de lui permettre de réaliser son rêve dans une université proche de ses parents, à savoir inventer et réaliser un barbecue solaire. C'est aussi l'occasion pour elle de redémarrer une nouvelle vie, loin de ses parents,… Lire la suite « Les affinités sélectives », J. Courtney Sullivan : la vie, ses choix, ses émois

A dévorer !

« La belle famille », Laure de Rivières : apparences trompeuses

Lorsque Manon Jackson accepte de devenir la baby-sitter des cinq enfants de la famille Leprince, elle ne se doute aucunement de ce qui l'attend. Certes, elle avait bien vu lors de leur rencontre l'épuisement d'Agnès, la mère de famille, tout juste rentrée d'un mystérieux séjour à l'hôpital. Mais pour elle, il s'agissait de la fatigue… Lire la suite « La belle famille », Laure de Rivières : apparences trompeuses

A dévorer !

« L’os de Lebowski », Vincent Maillard : parfois, ça coince… mais quel mordant !

Jim Carlos est un paysagiste dans le Sud de la France. Sans enfant et séparé de sa compagne bretonne Claire, il occupe ses journées en s'affairant dans les jardins des alentours, toujours accompagné de son fidèle chien Lebowski, un golden retriever tout entier comparable à une grosse peluche, et dont l'activité principale consiste... à ne… Lire la suite « L’os de Lebowski », Vincent Maillard : parfois, ça coince… mais quel mordant !

A dévorer !

« On ne parle plus d’amour », Stéphane Hoffmann : castes et carcans (Rentrée littéraire 2021)

Ô bonheur de retrouver à l'occasion de cette rentrée littéraire le ligérien Stéphane Hoffmann, chroniqué à plusieurs reprises et avec délectation sur le blog. Avec son nouvel opus On ne parle plus d'amour, on retrouve les thématiques chères à son cœur : la Bretagne (cette fois-ci il n'est pas beaucoup question de Nantes ou de… Lire la suite « On ne parle plus d’amour », Stéphane Hoffmann : castes et carcans (Rentrée littéraire 2021)

A dévorer !

« Les bons garçons », Pierre Adrian : tragédie sociale en trois actes

Rarement récit m'aura secouée de la sorte. Une tension palpable dès les premières pages, grandissant au fur et à mesure d'une ascension physique et narrative dramatique. Lecteurs, je vous mets en garde : on ne sort pas indemne de ce roman, tristement inspiré d'un fait réel. "A l'évidence, c'étaient de bons garçons. Une sourde appréhension… Lire la suite « Les bons garçons », Pierre Adrian : tragédie sociale en trois actes

A dévorer !

« Des filles qui dansent », Stéphane Hoffmann : le temps d’un été à La Baule, « la faiblesse des hommes, elles savent »…

Je retrouve avec grand plaisir Stéphane Hoffmann, découvert en 2018 avec Les Belles ambitieuses, en ayant par un hasard mis la main dans ma bibliothèque sur l’un de ses récits de « jeunesse » (qu’il me pardonne), à savoir Des filles qui dansent, publié en 2007. D’emblée, il s’avère idéal de savourer ce roman en… Lire la suite « Des filles qui dansent », Stéphane Hoffmann : le temps d’un été à La Baule, « la faiblesse des hommes, elles savent »…