A dévorer !

« Juste après l’amour », Sarah Marty : rage matrimoniale

Huit ans de mariage. Un couple uni, affichant un bonheur et une complicité sans faille, suscitant envie et admiration de leur cercle amical. Un mariage pour le meilleur et pour le pire : les longues semaines de reportage en zone de guerre pour elle, la stérilité pour lui. Un mariage en lequel croire. Pourtant, lorsqu'elle… Lire la suite « Juste après l’amour », Sarah Marty : rage matrimoniale

A croquer

« Fuir le bonheur », Francine Burlaud : une question de choix

Élise rejoint le lieu du mariage de sa sœur, la pétillante Myriana, auprès de laquelle elle va jouer le rôle de témoin. Une perspective festive sans doute bienvenue, même si sa sœur multiplie caprices et exigences de princesse, alors qu’Élise est en plein divorce. Mais elle devra faire attention : le futur marié, Victor, est… Lire la suite « Fuir le bonheur », Francine Burlaud : une question de choix

A dévorer !

« Les Secrets de ma mère », Jessie Burton : prismes féminins et lumières personnelles

Nous sommes en 1982. La jeune Élise Morceau fait la connaissance dans un parc londonien de la charismatique Constance - Connie - Holden, que l'on découvrira être une écrivaine renommée dans le microcosme littéraire. Ce qui aurait pu être seulement la naissance d'une belle amitié se transforme rapidement en histoire d'amour, à laquelle Élise, heureuse,… Lire la suite « Les Secrets de ma mère », Jessie Burton : prismes féminins et lumières personnelles

A dévorer !

« Les Lettres d’Esther », Cécile Pivot : correspondance(s)

Esther est libraire à Lille. Passionnée par son métier et ayant pendant longtemps cultivé l'art épistolaire avec son père, un veuf esseulé qui s'est suicidé quelques années auparavant, elle décide de lancer un atelier d'écriture. Le principe est simple : chaque participant devra choisir deux correspondants parmi les membres de l'atelier et entretenir, pendant quelques… Lire la suite « Les Lettres d’Esther », Cécile Pivot : correspondance(s)

A dévorer !

« Les bons garçons », Pierre Adrian : tragédie sociale en trois actes

Rarement récit m'aura secouée de la sorte. Une tension palpable dès les premières pages, grandissant au fur et à mesure d'une ascension physique et narrative dramatique. Lecteurs, je vous mets en garde : on ne sort pas indemne de ce roman, tristement inspiré d'un fait réel. "A l'évidence, c'étaient de bons garçons. Une sourde appréhension… Lire la suite « Les bons garçons », Pierre Adrian : tragédie sociale en trois actes

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Octobre 2020 : un bilan livresque qui confirme l’excellence de la rentrée littéraire !

A dévorer, uniquement à dévorer ! Paula ou personne, Patrick LAPEYRE, éditions P.O.L., 2020, 409 pages, 22€. Sale bourge, Nicolas RODIER, éditions FLAMMARION, 2020, 215 pages, 17€. Térébenthine, Carole FIVES, éditions GALLIMARD, 2020, 173 pages, 16.50€. "Poison Florilegium", Annalena MCAFEE, éditions Belfond, 2020, 298 pages, 21€. La famille Martin, David FOENKINOS, éditions GALLIMARD, 2020, 226… Lire la suite Octobre 2020 : un bilan livresque qui confirme l’excellence de la rentrée littéraire !

A dévorer !

« La famille Martin », David Foenkinos : le génial modus operandi d’un work-in-progress littéraire

Le narrateur - et sans aucun doute possible l'auteur lui-même dans cette entreprise qui a toutes les apparences de l'écriture autobiographique ("Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existé est purement probable") - peine à trouver l'inspiration pour son prochain livre. Fort de ses succès passés, il est pourtant confronté au syndrome redouté de… Lire la suite « La famille Martin », David Foenkinos : le génial modus operandi d’un work-in-progress littéraire

A dévorer !

« Poison Florilegium », Annalena McAfee : art toxique ?

Restons avec l'art et la peinture pour cette nouvelle chronique. Décidément, une thématique qui inspire les écrivains en cette rentrée littéraire et qui questionne... l'inspiration des artistes ! Eve Laing est une artiste londonienne de renom, mariée à un architecte superstar. A 60 ans passés, Eve peut savourer son succès si l'on considère les rétrospectives… Lire la suite « Poison Florilegium », Annalena McAfee : art toxique ?

A dévorer !

« Térébenthine », Carole Fives : peinture au vitriol

Nous sommes à Lille, au début des années 2000. La narratrice, alors à peine âgée de 18 ans, s'inscrit, pleine d'enthousiasme, en Licence aux Beaux-Arts, persuadée d'assouvir sa soif de connaissances théoriques et pratiques. Las... Elle comprend très rapidement que non seulement la peinture est reléguée aux bas-fonds de l'école et méprisée par le plus… Lire la suite « Térébenthine », Carole Fives : peinture au vitriol

A dévorer !

« Sale bourge », Nicolas Rodier : sous les coups de l’envers du décor

Pierre Desmercier est l'aîné d'une famille de six enfants de la plus pure tradition bourgeoise : la mère ne travaille pas, les moindres regroupements familiaux réunissent au bas mot vingt-cinq convives, le weekend c'est scoutisme et "bonne-maman" veille avec fierté sur toute sa descendance. Mais derrière ce vernis social hautement distingué se cache une réalité… Lire la suite « Sale bourge », Nicolas Rodier : sous les coups de l’envers du décor