Fleur vient d'enterrer son père, le fantasque Jean, renommé par ses propres soins de "comte de Cannelier". Toute sa vie durant, ce bourgeois désargenté a mené grand train pour faire étinceler un vernis tout ce qu'il y a de plus aristocratique... et mieux choquer la bienséance par un franc-parler bien souvent dérangeant et déplacé. Un… Lire la suite « Des gens comme il faut », Florence Chataigner : (in-)convenances
