Dans une temporalité que l'on devine ancienne, parce que l'on y commerçait le lait des femmes et que l'on s'y appelait Sylvaine, Jehan, Avel, Zaïg, Gladie ou encore Andoche, immersion dans le quotidien des petites gens de la campagne reculée, vallonnée et généreusement boisée à deux jours de route en carriole de la Ville. A… Lire la suite « Nourrices », Séverine Cressan : a-« mère » servilité
