Il y a dans ce roman du Fabrice Caro, par la longue logorrhée verbale assumée avec fantaisie par le narrateur, toujours soucieux de piquer à vif dans le décalage entre les apparences et ce qu'il pense vraiment. Des saillies littérairement jouissives et réjouissantes. Il y a aussi dans ce récit un soupçon de Yasmina Reza,… Lire la suite « Le dîner », Herman Koch : carnage familial