- La mère parfaite, Aimee MOLLOY, traduit de l’anglais (États-Unis) par Emmanuelle Aronson, éditions Les Escales (noires), 2018, 375 pages, 21.90€.
- Tangerine, Christine MANGAN, traduit de l’anglais (États-Unis) par Laure Manceau, éditions HarperCollins (collection « Noir »), 2019, 316 pages, 20€.
- Ce qui ne tue pas, Rachel ABBOTT, traduit de l’anglais par Laurine Chaplain, éditions Belfond, collection Noir, 2019, 376 pages, 19.90€.
- Et pour le pire, Amanda PROWSE, traduit de l’anglais (Grande-Bretagne) par Claire Allouch, éditions Stéphane Marsan, 2019, 356 pages, 20€.
- Protocole gouvernante, Guillaume LAVENANT, éditions Rivage, 2019, 190 pages, 18.50€.
Une série de livres sur le sort des femmes… toujours intéressant en ces jours sombres, où 101 femmes (à la date d’aujourd’hui) sont mortes sous les coups de leur compagnon… Je pense que la femme aura longtemps encore à lutter pour se faire respecter et obtenir gain de cause, malheureusement !
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C’est très juste. J’ai été frappée par la récurrence du thème dans les romans récents. Mais c’est bien car c’est donner de la voix à ces femmes de l’ombre, qui souffrent sans rien dire…
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La mère parfaite ! Woahhh je suis dedans, ça vaut son pesant de suspense !
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