L’Assommoir… Dévoré pour la première fois à 16 ans, relu avec délice à 23, redécouvert avec envie plus de quinze ans après pour n’en faire, une nouvelle fois, qu’une seule bouchée.
Exceptionnellement, point de chronique traditionnelle car pour la première fois j’évoque un classique, à propos duquel tout a été dit.
J’ai juste eu envie, en cet étrange temps de confinement, de m’octroyer ce bond dans le temps littéraire et de goûter avec gourmandise (et sans doute nostalgie aussi) à la prose si caractéristique de Zola. La magie littéraire reste la même…