A dévorer !

« La petite amie », Michelle Frances : prends garde à toi si elle t’aime (et encore plus si elle te déteste !)

Lorsque Daniel fait la connaissance de Cherry, c'est l'évidence : cette sculpturale jeune femme brune travaillant dans une agence immobilière cotée de Kensington dégage un charme auquel il n'est aucunement insensible. Sa quête de la garçonnière parfaite se double alors d'un "match" amoureux inespéré. Pour Cherry, Daniel est tout ce dont elle aurait pu rêver… Lire la suite « La petite amie », Michelle Frances : prends garde à toi si elle t’aime (et encore plus si elle te déteste !)

A dévorer !

« La bonne mère », Mathilda Di Matteo : en garde !

Attention : pépite de la rentrée littéraire que cette Bonne mère, incarnée en la personne de Véro, une cagole marseillaise pur jus, jusqu'au bout (pailleté, bien évidemment) des ongles. Véro, c'est un tourbillon tout de rose vêtu et de blondeur factice, qui aime se dorer la pilule avec ses copines aussi peroxydées qu'elle. Véro personnifie… Lire la suite « La bonne mère », Mathilda Di Matteo : en garde !

A dévorer !

« Propre », Alia Trabucco Zeran : des apparences pas si reluisantes…

Estela a décidé de venir à Santiago, en Amérique du Sud, afin d'y trouver du travail. Son objectif : gagner de l'argent pour que sa mère puisse vivre décemment et moins s'épuiser à la tâche dans sa province natale. La jeune femme est embauchée par Mara Lopez et Don Juan Cristobal Jensen, un couple plutôt… Lire la suite « Propre », Alia Trabucco Zeran : des apparences pas si reluisantes…

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« La branche tordue », Jeanine Cummins : aïe mes aïeux…

Majella est une jeune New-yorkaise, nouvellement maman de la petite Emma, à peine plus âgée que de huit semaines. Un désir d'enfant partagé avec son mari, Léo, mais que la réalité tempère grandement : Majella se débat dans son nouveau rôle, et nombreuses sont les larmes qu'elle laisse couler, de dépit et de frustration. De… Lire la suite « La branche tordue », Jeanine Cummins : aïe mes aïeux…

A croquer

« Baisse ton sourire », Christophe Levaux : (mise) en garde

Le narrateur, anonyme, mène son récit de vie à la première personne du singulier. Et sans doute faut-il cela pour oser assumer un parcours de vie médiocre, plombé par l’absence d’une quelconque perspective à échapper au déterminisme gluant de « Toxcity », trou paumé d’une province du Nord. La vie ne l’a pas aidé, cela est chose… Lire la suite « Baisse ton sourire », Christophe Levaux : (mise) en garde

A croquer

« Sentir mon corps brûler », Aure Hajar : les limites de la nécessité ?

Lila foule du sol pour la première fois la prestigieuse fac de droit sise près du Panthéon. Pour elle, c'est la promesse d'un nouvel avenir, forcément plus radieux que le morne quotidien dans sa cité de banlieue auprès de sa mère, femme de ménage aigrie et dévolue aux traditions familiales et ancestrales de Tanger. Une… Lire la suite « Sentir mon corps brûler », Aure Hajar : les limites de la nécessité ?

A dévorer !

« Ce que Majella n’aimait pas », Michelle Gallen : une pinte d’espoir ?

Majella est une jeune femme dans la vingtaine, qui a décidé de ne pas poursuivre ses études afin de prêter main forte au domicile familial. Ainsi, sa mère, alcoolique, écluse sa peine pour oublier l'absence d'un père disparu on ne sait où, peut-être à cause des derniers soubresauts de la guerre civile en Irlande du… Lire la suite « Ce que Majella n’aimait pas », Michelle Gallen : une pinte d’espoir ?

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« La faute de goût », Caroline Lunoir : à l’étiquette

Mathilde revient, le temps d'une semaine de vacances aux alentours du 15 août, au château familial que sa grand-mère et ses quatre grands-tantes possèdent en indivision. Fief ancestral depuis l'arrière-grand-père Félix, dit le Général, les générations s'y succèdent, s'étoffent et se retrouvent le temps de mariages, de funérailles et de vacances. On y cultive la… Lire la suite « La faute de goût », Caroline Lunoir : à l’étiquette

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« Connemara », Nicolas Mathieu : « On dit que la vie, c’est une folie »

Titre déceptif que ce "Connemara" ? On pourrait l'envisager, car il n'y est point question de l'Irlande, de ses lacs, de ses lochs, de ses landes. A défaut, il y est question des clans, mais ceux bien de chez nous, ces regroupements de petites gens d'une bourgade qui depuis des générations se connaissent, grandissent, vivent… Lire la suite « Connemara », Nicolas Mathieu : « On dit que la vie, c’est une folie »

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« Paula ou personne », Patrick Lapeyre : conversations amoureuses salvatrices ?

Jean Cosmo a trente-deux ans et, mû par un sens aigu de la fatalité qui l'amène à considérer sa vie sous le sceau du déterminisme social, n'a jamais envisagé autre chose que son quotidien morose au centre de tri postal de la banlieue parisienne dans lequel il travaille depuis des années, mis à l'écart des… Lire la suite « Paula ou personne », Patrick Lapeyre : conversations amoureuses salvatrices ?