A croquer

« Mon cher mari », Rumena Buzarovska : duo duel

En onze nouvelles, l'écrivaine macédonienne Rumena Buzarovska narre des instants de vie de couples. Son angle de narration : un "je" féminin décliné en autant d'épouses différentes, mais toutes solidement reliées à un homme. Cet homme, justement, est un mari tantôt autoritaire, tantôt d'une douceur d'agneau ; parfois volage, parfois désespérément ennuyeux ; il peut… Lire la suite « Mon cher mari », Rumena Buzarovska : duo duel

A dévorer !

« Le bonheur est au fond du couloir à gauche », J.M. Erre : quand le PROZAC se prescrit en doses littéraires !

Michel H. (oui, oui, c’est bien son nom) n’a que vingt-cinq ans et pourtant une grande disposition pour la dépression. Ainsi, tout semble prétexte au spleen et le quidam n’a rien à envier à son quasi homonyme écrivain à la « sérotonine » hésitante. "J’ai été un enfant triste et un adolescent cafardeux avant de devenir un… Lire la suite « Le bonheur est au fond du couloir à gauche », J.M. Erre : quand le PROZAC se prescrit en doses littéraires !

A croquer

« Des garçons qui tremblent », Stéphane Hoffmann : Nantes, théâtre romanesque codifié entre joutes sociales et amoureuses

Vous rappelez-vous du roman Des filles qui dansent, récit lu avec un enthousiasme débordant et chroniqué il y a peu de temps encore ? Je vous propose cette fois-ci la seconde partie de ce diptyque narratif avec Des garçons qui tremblent. Manquera cependant à ma chronique le même enthousiasme que précédemment. On retrouve Camille et… Lire la suite « Des garçons qui tremblent », Stéphane Hoffmann : Nantes, théâtre romanesque codifié entre joutes sociales et amoureuses