A croquer

« Petite sale », Louise Mey : coupables apparences

Nous sommes en février 1969 dans l'Est de la France, non loin du chemin des Dames, sur une terre gorgée du sang et nourrie des cadavres des Poilus tombés sous les balles des Allemands en 14-18. Augustin Demest, un propriétaire terrien sans scrupule, règne en maître sur le village de Saint-Dury. Il faut dire que… Lire la suite « Petite sale », Louise Mey : coupables apparences

A croquer

« Marche blanche », Claire Castillon : idées noires pour une figure maternelle en demi-teinte…

N'y a-t-il pas pire drame pour une mère que de perdre son enfant lorsque ce dernier est enlevé par un inconnu, alors que mère et fille jouaient tranquillement dans un parc avant de se rendre à leur rendez-vous chez le dentiste ? Comment les 30 secondes nécessaires pour se cacher ont-elle suffi à la petite… Lire la suite « Marche blanche », Claire Castillon : idées noires pour une figure maternelle en demi-teinte…

A dévorer !

« Le Mystère Sammy Went », Christian White : retrouver son identité, entre présent et passé

Kimberley Leamy, la trentaine, vit à Melbourne, en Australie, où elle enseigne la photographie. Même si elle pleure encore amèrement la mort de sa mère Carol, elle peut compter sur le soutien et la tendresse de sa demi-sœur Amy et de son beau-père Dean. Mais, un jour, un inconnu venu des États-Unis l'aborde : après… Lire la suite « Le Mystère Sammy Went », Christian White : retrouver son identité, entre présent et passé

A dévorer !

« La mère parfaite », Aimee Molloy : comme la femme parfaite, elle n’existe sans doute pas. Et c’est tant mieux.

Colette, Francie, Nell, Winnie, Scarlett et quelques unes encore sont de jeunes femmes qui habitent à Brooklyn. Outre ce point commun, ce sont toutes de jeunes mamans qui font partie d'un groupe, "Les Mères de mai". Ainsi, chaque semaine, elles se rejoignent dans un parc près de chez elles pour échanger autour de leurs bébés,… Lire la suite « La mère parfaite », Aimee Molloy : comme la femme parfaite, elle n’existe sans doute pas. Et c’est tant mieux.