A goûter

« Real life », Brandon Taylor : l’amour et la violence

Difficile rentrée pour Wallace qui, à la fin d'un été étouffant, peine à reprendre pied dans son quotidien. Le temps d'un week-end, séquencé en plusieurs chapitres, ses croyances explosent, ses liens amicaux et amoureux le bousculent dans ses certitudes. Wallace est malmené et Brandon Taylor nous donne à lire les atermoiements d'un jeune homme à… Lire la suite « Real life », Brandon Taylor : l’amour et la violence

A dévorer !

« Mrs March », Virginia Feito : folie douce

Mrs March est une riche Américaine à la vie oisive, habituée depuis son enfance à une certaine étiquette et à de vrais privilèges. Ayant épousé son ancien professeur d'université, brillant écrivain à la renommée internationale, point besoin pour elle de travailler. Alors, elle occupe son ennui par un train-train quotidien quelque peu insipide, entre déambulations… Lire la suite « Mrs March », Virginia Feito : folie douce

A dévorer !

« La soutenance », Anne Urbain : avec les félicitations du jury

Antoine est pieds et poings liés : sa thèse en histoire du livre est sur le point de le sacrer docteur, lui qui, ironie du sort, a toujours eu peur des bibliothécaires. Pourtant, grande est l'envie de tout arrêter, d'annoncer à sa famille qu'il abandonne, d'envoyer le mail à son directeur de thèse qu'il annule… Lire la suite « La soutenance », Anne Urbain : avec les félicitations du jury

A dévorer !

« Les Amours illicites », Philippe Séguy : « le cœur a ses raisons… »

Léa Debarry est une artiste peintre de renom. Elle s'apprête à exposer à New-York dans le cadre d'une rétrospective de son œuvre. Tout est quasi fin prêt, grâce aux bons soins du père de son fils Paul, l'américain Joshua, et grâce à son agent et amant de longue date, le galeriste réputé Louis-Armand Chalandrais. Afin… Lire la suite « Les Amours illicites », Philippe Séguy : « le cœur a ses raisons… »

A croquer

« Je suis le genre de fille », Nathalie Kuperman : la touchante recherche d’un adoubement altruiste et intime.

Juliette, la quarantaine, est une femme divorcée et mère d'une ado, Valentine. Dans ce roman, narré à la première personne, Juliette égrène ses manies qu'elle déplore, qu'elle confesse, qu'elle avoue... D'ailleurs,  l'expression "c'est le genre de fille qui..." n'est-elle pas usitée à des fins quelque peu péjoratives et méprisantes ? Autoportrait fictif d'une quadra en… Lire la suite « Je suis le genre de fille », Nathalie Kuperman : la touchante recherche d’un adoubement altruiste et intime.